Etant enfin parvenue dans un pays "civilisé" Talaï songeais a se diriger vers une ville, effectivement ses vetements avaient (un peu) souffert du voyage et Mereya était plus docile a present. Elle se dit que le plus simple serait de sortir du bois et de suivre une route quand elle en trouverait une.
Qu'en dis-tu Mereya?
demandat-elle.
Sa voix était chaude et douce comme une brise de printemps, elle traduisait l'amour et le respect qu'elle avait pour la pouliche qui l'accompagnait.